CANADA How The Communists Took Control
Canadian State of the Union: Sur le caractère anti-démocratique du référendum - N. Lygeros

Sunday, May 17, 2009

Sur le caractère anti-démocratique du référendum - N. Lygeros

 En réalité, le référendum après la massification de la démocratie, représente une procédure qui permet au système d'utiliser la masse de la population pour valider une décision qui a déjà été prise. Sans la connaissance profonde du sujet la masse est manipulée via des moyens médiologiques pour aller dans le sens du système tout en étant persuadée d'avoir eu le dernier mot dans le choix.
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Dans les états qui connaissent un tant soit peu la notion de démocratie, le référendum est considéré comme l'outil démocratique par excellence. Dans cet article, à l'encontre de cette idée dominante, nous allons montrer qu'il n'en est rien et que le référendum est un processus aliéné par la massification de la démocratie.

A l'origine, le référendum qui provient de l'expression latine "ad referendum", est une demande de consultation. Dans son sens premier i.e. vote de l'ensemble des citoyens pour approuver ou rejeter une mesure proposée par le pouvoir exécutif, il est semblable au terme plébiscite, ce qui est compatible avec son équivalent grec plus ancien dont le sens est le vote du dème. Et c'est dans ce cadre qu'il prend pleinement son sens politique. En effet, dans une démocratie de type athénien, l'assemblée du dème est un représentant de la population citoyenne. Le rapport est effectivement très faible. Nous pouvons considérer un exemple plus actuel comme le cas suisse puisque le référendum est une pratique courante dans ce pays, alors qu'il n'apparaît dans aucune des constitutions de la France avant 1946. Dans tous ces cas, l'idée essentielle est que la population est relativement faible et donc que la partie votante représente une partie essentielle de celle-ci. Cela représente le cadre idéal du référendum. Les problèmes surgissent lorsque le pouvoir exécutif fait appel au référendum dans un pays dont la population est importante et surtout dans lequel le pouvoir représente une minorité très faible.

Cette fois, le référendum est manipulable beaucoup plus facilement pour le pouvoir qui agit sur la masse et du coup perd son sens originel. Car la base de la validité d'un vote, c'est la connaissance de sa nature. Pour voter, il faut savoir. Seulement dans une démocratie de masse, très peu de personnes sont au courant de toutes les ficelles du pouvoir et des répercussions d'un choix. Car la politique, en raison de la masse, est devenue de manière essentielle l'affaire de processus et de spécialistes. Pour un individu normal, le manque de temps et la taille du nombre de documents à traiter engendrent la nécessité de choisir : soit il se retrouve à plein temps dans la politique et il appartient, selon son niveau, dans cette échelle aux hommes qui prennent les décisions, soit il appartient aux autres. Cette dichotomie de facto a une autre conséquence qui concerne l'information.

Bien qu'il soit implicite, le rôle de l'information est fondamental pour le sens du référendum. Car comment voter sans savoir ? Pour pallier à cela, le système gère lui-même l'information créant ainsi une dyssymétrie dans le fonctionnement. C'est ainsi qu'apparaît un phénomène trichotomique : il y a les non-informés, les informés, et les informés qui informent. Bien sûr, par définition, l'ensemble de cette population vote au même titre. Cependant quelle est la valeur de ce vote ? En a-t-il simplement une ? Quel est le vote d'une personne normale qui n'a qu'une information partielle et partiale de l'objet du vote ? Quelle est sa part de responsabilité dans le temps ?

En réalité, le référendum après la massification de la démocratie, représente une procédure qui permet au système d'utiliser la masse de la population pour valider une décision qui a déjà été prise. Sans la connaissance profonde du sujet la masse est manipulée via des moyens médiologiques pour aller dans le sens du système tout en étant persuadée d'avoir eu le dernier mot dans le choix. Ce dernier point, n'est qu'un moyen supplémentaire pour le système de se couvrir auprès de la population qui ne peut pas le rendre coupable de sa réponse finale. Seulement nous savons bien que la réponse n'est qu'un détail dans l'art de la question. L'important ce n'est pas de répondre directement à une question mais comment la poser pour obtenir la réponse désirée. Tel est le nouveau sens du référendum et c'est en cela qu'il est anti-démocratique.

La source originale de cet article: N. Lygeros


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COMMENTAIRE :

C'est exactement la situation au Québec. Les référendums en Europe et au Canada sont un outil pour employer l'électorat tout simplement afin de valider une «décision déja prise» il y a les décennies, bien avant la Seconde Guerre mondiale, bien avant la Première Guerre mondiale, de créer un gouvernement mondial au profit et sous le contrôle total des plus riches du monde. Ce gouvernement mondial ne peut pas se réaliser sans préalablement détruire les nations existantes et leurs systèmes existants par divers moyens. Par exemple, engendrer des victimes afin d'exploiter le pouvoir de la victime, car, certes, la victime par définition ne peut rien faire par lui-même. Donc, son créateur lui donne l'illusion de faire quelque chose en instituant un processus menant à un résultat pré-ordonné.

Les référendums de 1980 et de 1995 au Québec étaient tous les deux de pures prétextes pour imposer sur tout le Canada—non seulement sur le Québec—une nouvelle forme de gouvernement, celle de l'Union Européenne. Donc, la majorité de 32 millions de la population au Canada seraient soumise au même résultat planifié sans participer à l'illusion du «vote». Et on appelle ça la démocratie? Non, on appelle ça l'exercice du pouvoir illusoire de la victime de créer une classe de personnes possédant ironiquement plus de droits que tous les autres. Étant spéciale à cause de sa nature inhérente de victime elle arrivent à avoir le droit de supprimer les droits de tout le monde. Et cela c'est complètement contraire au règle de droit, ça c'est le système éternel des tyrans.

Quelle contradiction! La victime impuissante, à cause de son impuissance, a en fait plus de pouvoir que tout le monde! C'est la magie de la chimie politique! Mais cette victime n'arrive pas dans un vide. Il est créé par des tyrans et des brigands impuissants qui, souhaitant renverser la loi qui les empêche d'agir, et n'ayant pas le mandat, créent une population de victimes conçues pour leur en donner un.

Cette forme de gouvernement (de l'Union Européenne) est soviétique en son origine. Il fait partie du plan soviétique-sioniste de concert avec les traîtres de l'Ouest, d'imposer un gouvernement mondial au modèle soviétique-fasciste. Les gens sont dupés par les joueurs de flûte de Hamelin de la sécession en faux et de la souveraineté en faux afin de les forcer à se détruire.

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